Les activités du temps des Fêtes de Go Sport

Les activités du temps des Fêtes de Go Sport

Laissez-vous inspirer!
5 activités du temps des Fêtes
Avez-vous la nostalgie aigüe lorsqu'arrive le temps des Fêtes? Êtes-vous plutôt du type créatif, généreux ou plus spontané? Qu’importe la réponse, plongeons au cœur des souvenirs de personnalités du grand réseau des magasins Go Sport afin de nous inspirer pour nos activités du temps des Fêtes.  

Le roi de la patinoire
Jadis, un petit bout de choux ne rêvait que d’une chose : un thermomètre indiquant le plus froid possible sous zéro! « Quand il faisait très très froid, je savais que je serais seul sur la patinoire du quartier. Je me gelais les oreilles jusqu’à ce que mes sœurs viennent me chercher parce que c’était l’heure de rentrer. J’aimais tellement ça. C’était mes journées préférées », se rappelle Frank Cloutier, propriétaire des magasins Chaussures Pop et Go Sport de Chicoutimi et Jonquière. Avec son bâton de hockey et tout l’espace juste à lui, il se prenait pour nul autre que le grand Guy Lafleur! Des années plus tard, « papou » rêve cependant d’un mercure plus doux afin de transmettre la passion du patin à sa petite fille Mikaëla, 6 ans.

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Bouger (et donner au suivant!)
Pour Donald Robitaille, superviseur des magasins Go Sport, les traditions des Fêtes riment avec générosité. « L’hiver, pelleter son entrée c’est un peu chiant pour tout le monde. Pendant plusieurs années, on se réunissait une petite gang d’amis du même quartier et on allait d’entrée en entrée de personnes âgées pour faire disparaitre la neige! », témoigne celui qui a toujours de fascinantes histoires à raconter. Entre deux coups de pelle, les complices de l’entraide chantaient des cantiques de Noël bien connues sur lesquelles ils avaient changé les paroles. N’est-ce pas une belle conciliation plaisir-générosité?



Raquette et feu de camp
Nous aurions été étonnés que notre directrice du marketing Claudie Laroche, belle sportive, n’ait pas une tradition en lien avec l’activité physique à son calendrier des Fêtes. Quand elle n’est pas sur les pentes avec sa planche à neige à défier la poudreuse, elle enfile ses raquettes pour faire une randonnée d’un lac à l’autre avec son neveu et sa nièce. « On embarque des bûches dans le traineau et on va se faire un feu sur le bord du lac Iris à Saint-Félix-d’Otis (municipalité de Saguenay). », décrit-elle. Fidèle aux coutumes partout à travers la province, il y a des breuvages chauds à volonté pour tout le monde, que ce soit café ou boisson chocolatée!

Magasiner les raquettes

Glisser sous les étoiles
Pour notre directrice des communications, Manon Rivard, les congés des Fêtes de son enfance étaient marqués inévitablement par un rassemblement familial quelque part dans une colline de sa région natale. « Dans ma tête, il se faisait toujours tard lorsqu’on faisait cette activité même si je sais aujourd’hui que le soleil se couche très tôt en hiver (rires). On sortait des tapis à neige, des trois-skis ou de vieilles luges qu’on mettait à l’épreuve de contenir le plus de monde sur un seul accessoire! », a-t-elle souvenir. Elle a d’ailleurs retenu un moment particulièrement épique alors que l’oncle Coco avait sorti la planche à voile (oui, oui, celle pour faire de la voile en été!) pour en faire un traineau. « Ça glissait vite comme nous n’avions jamais glissé! », dit-elle nostalgique. Aujourd’hui, mère de deux enfants, il y a assurément une soirée réservée à la glissade avec les petits, les amis ou les cousins. Dans les thermos des 18 ans et moins, se trouve un mélange de chocolat chaud et guimauves, tandis que dans les thermos des adultes, le café perd son corsé grâce à une liqueur alcoolisée… bien entendu!

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Du plaisir sur le lac gelé
Pour Sophie Maillé, designer graphique, c’est aussi un souvenir qui tourne autour de la glissade qui lui vient en tête. Fillette, le lac de sa grand-mère devenait un vrai terrain de jeu. « On se glissait du pas de la porte et on glissait dans la pente devant la maison pour se rendre jusqu’au lac gelé! », se remémore-t-elle alors qu’elle se réchauffait les petites mains gelées avec la chaleur du feu de camp entre chaque descente.